Ce château de style néo-classique du début du 19ème siècle avec jardins à l'anglaise a conservé ses caves voûtées en berceau et son nymphée à voûte d'ogives recouvert de coquillages et de minéraux du précédent château, datant de la fin du 17ème siècle.
Le Grand Château domine le centre de la ville au-dessus de l'église Saint-Martin.
Il est caché de la vue par un immense parc et un long mur de pierre.
Il accueille aujourd'hui le groupe HEC Paris, en tant que lieu de formations continues pour adultes et en tant que lieu de séminaires.
À son emplacement actuel se trouvait au XVIème siècle un château avec pont-levis, fossés, basse-cour et parc fermé de murs.
En 1543 Jean d'Escoubleau y fait des aménagements Renaissance.
En 1673, son arrière petit-fils, sans enfant, cède le comté de Jouy.
Le château passe ensuite entre plusieurs mains dont celles d'Antoine d'Aquin, Comte de Jouy-en-Josas, Premier médecin du Roi Soleil.
Ensuite, il est agrandi dans le style classique et doté de magnifiques jardins à la française, puis à l'anglaise, avec des pièces d'eau et une grande orangerie.
Sous l'aile droite du château est situé un "nymphée", salle à manger décorée de coquillage et de minéraux.
Le 1er mai 1756, le château, appartenant à Antoine Louis Rouillé, secrétaire d'État aux Affaires étrangères de Louis XV, servit de cadre à la signature du Traité de renversement des Alliances (appelé Traité de Jouy puis Traité de Versailles), qui unissait la France à l'Autriche.
Anne-François d'Harcourt Beuvron, gendre de Rouillé fut le dernier seigneur de Jouy-en-Josas.
En 1801, le château est acheté par Armand Séguin, fournisseur des armées, industriel et financier, qui le fit réduire et remanier en style néo-classique par l'architecte Bienaimé. Les jardins sont également remaniés.
En 1834, Antoine Seguin revend le domaine qui échoit en 1841 au banquier James Mallet, mari de Laure, fille de Christophe-Philippe Oberkampf.
Le château restera dans la famille jusqu'en 1953 et le parc jusqu'en 1955 avant d'être achetés par le CRC (Centre de Recherche et d'études des Chefs d'entreprise).
C'est le début de l'histoire moderne du château.
Les textes ont pu être écrits grâce aux travaux du Groupe de Recherche Historique de Jouy-en-Josas
Il est caché de la vue par un immense parc et un long mur de pierre.
Il accueille aujourd'hui le groupe HEC Paris, en tant que lieu de formations continues pour adultes et en tant que lieu de séminaires.
À son emplacement actuel se trouvait au XVIème siècle un château avec pont-levis, fossés, basse-cour et parc fermé de murs.
En 1543 Jean d'Escoubleau y fait des aménagements Renaissance.
En 1673, son arrière petit-fils, sans enfant, cède le comté de Jouy.
Le château passe ensuite entre plusieurs mains dont celles d'Antoine d'Aquin, Comte de Jouy-en-Josas, Premier médecin du Roi Soleil.
Ensuite, il est agrandi dans le style classique et doté de magnifiques jardins à la française, puis à l'anglaise, avec des pièces d'eau et une grande orangerie.
Sous l'aile droite du château est situé un "nymphée", salle à manger décorée de coquillage et de minéraux.
Le 1er mai 1756, le château, appartenant à Antoine Louis Rouillé, secrétaire d'État aux Affaires étrangères de Louis XV, servit de cadre à la signature du Traité de renversement des Alliances (appelé Traité de Jouy puis Traité de Versailles), qui unissait la France à l'Autriche.
Anne-François d'Harcourt Beuvron, gendre de Rouillé fut le dernier seigneur de Jouy-en-Josas.
En 1801, le château est acheté par Armand Séguin, fournisseur des armées, industriel et financier, qui le fit réduire et remanier en style néo-classique par l'architecte Bienaimé. Les jardins sont également remaniés.
En 1834, Antoine Seguin revend le domaine qui échoit en 1841 au banquier James Mallet, mari de Laure, fille de Christophe-Philippe Oberkampf.
Le château restera dans la famille jusqu'en 1953 et le parc jusqu'en 1955 avant d'être achetés par le CRC (Centre de Recherche et d'études des Chefs d'entreprise).
C'est le début de l'histoire moderne du château.
Les textes ont pu être écrits grâce aux travaux du Groupe de Recherche Historique de Jouy-en-Josas