Une balade dépaysante à travers le temps sur un sentier du patrimoine, dans le PNR du Vexin français. N’oubliez pas de regarder la météo pour vous habiller en fonction, enfilez des chaussures confortables et adaptées, prenez un peu d’eau.
Se rendre à Saint-Martin-la-Garenne c’est tout d’abord découvrir un village avec une carte d’identité d’une grande richesse. Le village est situé dans une boucle de la Seine, son territoire est à 95% rural, il est boisé sur près de la moitié de sa superficie, il comprend la plus grande partie de l'île Saint-Martin au nord, à l'ouest et en bord de Seine se trouvent de grandes étendues d'eau correspondant à d'anciennes sablières, il est traversé dans sa partie nord-est par un sentier de grande randonnée, le GR 2.
Mais quel drôle de nom pour ce village ! Une petite explication s’impose !
Le nom de Sanctus Martinus est attesté en 1101. Puis, en 1793, le nom de « la Garenne » est ajouté à celui de Saint-Martin.
Notez que les Saint-Martinois n’ont jamais encore compté plus de 1000 habitants depuis le début des recensements en 1793. Ils étaient 929 en 2020.
Ne ratez pas le hameau de Sandracourt situé à 3 kilomètres et qui mérite un joli détour.
Vos pas vous emmènent jusqu’à l’église Saint-Martin. Inscrite aux Monuments Historiques en 1937, les parties les plus anciennes de l’édifice sont datées du XIIe siècle. L’église a bénéficié d'une profonde restauration au XIXème siècle et plus récemment entre 1998 et 2002. A l’intérieur, se trouve une Vierge du XIVème siècle, invoquée sous le nom de Notre-Dame-la-Désirée, provenant d’une chapelle que le roi Charles V avait fait construire en 1376 au lieu-dit Moregny.
La légende raconte que ce roi, s’étant perdu dans la forêt d’Arthies et, ayant invoqué la Vierge, aperçut le clocher de Saint-Martin. Ainsi en remerciement, il fit construire une chapelle qui fut détruite en 1793. A Sandrancourt, vous pourrez vous arrêter et observer la chapelle Sainte-Anne datée du VIIème siècle.
Une autre légende raconte que les habitants de Saint-Martin, pays vignoble, passaient pour de fameux buveurs ! Les jours de mariages, à la sortie de l’église, deux hommes s’avançaient vers la mariée et, croisant leurs mains, ils la portaient en chaise du roi jusqu’à une petite chapelle bâtie au croisement des deux routes. Arrivée devant celle-ci, la mariée, toujours assise sur les bras des deux hommes, jurait « de ne jamais aller chercher son mari au cabaret » !
Si vous vous rapprochez de la Seine, le charme de port Ilon avec ses 200 pontons équipés vous laissera, presque, sans voix. Avec son bassin de cent hectares, entièrement bordé d’arbres et classé Natura 2000, il offre une grande richesse ornithologique. Prenez le temps, vous êtes en Terres de Seine, en terre d’évasion!
Mais quel drôle de nom pour ce village ! Une petite explication s’impose !
Le nom de Sanctus Martinus est attesté en 1101. Puis, en 1793, le nom de « la Garenne » est ajouté à celui de Saint-Martin.
Notez que les Saint-Martinois n’ont jamais encore compté plus de 1000 habitants depuis le début des recensements en 1793. Ils étaient 929 en 2020.
Ne ratez pas le hameau de Sandracourt situé à 3 kilomètres et qui mérite un joli détour.
Vos pas vous emmènent jusqu’à l’église Saint-Martin. Inscrite aux Monuments Historiques en 1937, les parties les plus anciennes de l’édifice sont datées du XIIe siècle. L’église a bénéficié d'une profonde restauration au XIXème siècle et plus récemment entre 1998 et 2002. A l’intérieur, se trouve une Vierge du XIVème siècle, invoquée sous le nom de Notre-Dame-la-Désirée, provenant d’une chapelle que le roi Charles V avait fait construire en 1376 au lieu-dit Moregny.
La légende raconte que ce roi, s’étant perdu dans la forêt d’Arthies et, ayant invoqué la Vierge, aperçut le clocher de Saint-Martin. Ainsi en remerciement, il fit construire une chapelle qui fut détruite en 1793. A Sandrancourt, vous pourrez vous arrêter et observer la chapelle Sainte-Anne datée du VIIème siècle.
Une autre légende raconte que les habitants de Saint-Martin, pays vignoble, passaient pour de fameux buveurs ! Les jours de mariages, à la sortie de l’église, deux hommes s’avançaient vers la mariée et, croisant leurs mains, ils la portaient en chaise du roi jusqu’à une petite chapelle bâtie au croisement des deux routes. Arrivée devant celle-ci, la mariée, toujours assise sur les bras des deux hommes, jurait « de ne jamais aller chercher son mari au cabaret » !
Si vous vous rapprochez de la Seine, le charme de port Ilon avec ses 200 pontons équipés vous laissera, presque, sans voix. Avec son bassin de cent hectares, entièrement bordé d’arbres et classé Natura 2000, il offre une grande richesse ornithologique. Prenez le temps, vous êtes en Terres de Seine, en terre d’évasion!
