De la rencontre entre l’encre et le papier naissent des œuvres d’une remarquable richesse plastique et d’une extrême diversité. Le Musée Ducastel-Vera vous invite à la découverte de l’estampe à travers les feuilles issues de ses collections.
Le musée s’associe avec l’atelier yvelinois Art Gravure SQY car cet art pluriséculaire est également actuel et vivant !
Estampe, gravure, taille-douce, eau-forte, taille d’épargne, lithographie, burin, aquatinte… la pluralité des termes répond à l’incroyable variété de l’image imprimée sur papier. Alors que le dessinateur et le peintre interviennent directement sur le support, le graveur travaille d’abord sur la matrice qui ne deviendra l’œuvre – une estampe – qu’une fois encrée et passée sous presse, donc inévitablement en s’inversant comme dans un miroir.
Dès ses origines à la fin du Moyen Âge, le but premier de l’estampe est la multiplicité mécanique de l’image reproduite autant de fois que nécessaire ou jusqu’à l’épuisement de la matrice. Mais facilité de reproduction n’est pas synonyme de facilité de création ! Depuis le dessin préparatoire et jusqu’au séchage de la feuille après impression, le graveur franchit une multitude d’étapes qu’exige chaque technique, devenant parfois artisan ou chimiste, mais restant toujours et avant tout un artiste.
Fièrement, il y appose ses initiales, puis, à partir du XVIe siècle, son nom avec une précision latine quant à son rôle exact : invenit « a inventé », delineavit « a dessiné », sculpsit « a gravé », fecit « a fait » (dessiné et gravé), excudit « a exécuté ».
Visite commentée de 30 minutes par le médiateur du musée tous les premiers samedis du mois, 16h. Visite incluse dans le prix du billet.
Visites thématiques guidées d'1h30 par Alexandra Zvereva, directrice du musée Ducastel-Vera et commissaire de l'exposition, le 8 mars et le 10 mai. Tarification spécifique. Réservations sur ce site.
Estampe, gravure, taille-douce, eau-forte, taille d’épargne, lithographie, burin, aquatinte… la pluralité des termes répond à l’incroyable variété de l’image imprimée sur papier. Alors que le dessinateur et le peintre interviennent directement sur le support, le graveur travaille d’abord sur la matrice qui ne deviendra l’œuvre – une estampe – qu’une fois encrée et passée sous presse, donc inévitablement en s’inversant comme dans un miroir.
Dès ses origines à la fin du Moyen Âge, le but premier de l’estampe est la multiplicité mécanique de l’image reproduite autant de fois que nécessaire ou jusqu’à l’épuisement de la matrice. Mais facilité de reproduction n’est pas synonyme de facilité de création ! Depuis le dessin préparatoire et jusqu’au séchage de la feuille après impression, le graveur franchit une multitude d’étapes qu’exige chaque technique, devenant parfois artisan ou chimiste, mais restant toujours et avant tout un artiste.
Fièrement, il y appose ses initiales, puis, à partir du XVIe siècle, son nom avec une précision latine quant à son rôle exact : invenit « a inventé », delineavit « a dessiné », sculpsit « a gravé », fecit « a fait » (dessiné et gravé), excudit « a exécuté ».
Visite commentée de 30 minutes par le médiateur du musée tous les premiers samedis du mois, 16h. Visite incluse dans le prix du billet.
Visites thématiques guidées d'1h30 par Alexandra Zvereva, directrice du musée Ducastel-Vera et commissaire de l'exposition, le 8 mars et le 10 mai. Tarification spécifique. Réservations sur ce site.