Pour son exposition personnelle à La Maréchalerie, Caroline CORBASSON propose de retracer son travail vidéo dans un espace conçu sur mesure. Réservation obligatoire : lamarechalerie@versailles.archi.fr
De ses premiers films, Atacama (2017) et A ta recherche (2019), à des travaux vidéo plus récents dont certains réalisés spécifiquement pour La Maréchalerie, nous voyageons dans un univers mêlant science et fiction, entre vastes paysages et observatoires hyper-technologiques. Récemment, le médium cinématographique a pris une place inédite dans son travail plastique.
Avec Atacama et A ta recherche, Caroline Corbasson prolonge le développement de thématiques et de questionnements débuté depuis plusieurs années, notre rapport au monde et à l’univers, ainsi que notre manière d’aborder, d’observer et de quantifier ces environnements lointains.
Ses collaborations avec des institutions scientifiques de renommées nationales et internationales comme le CNRS, le CNES, l’Observatoire Paranal dans le désert d’Atacama ou le Laboratoire d’Astrophysique de Marseille lui permettent de s’immiscer dans le quotidien de ces hauts lieux de l’étude scientifique et spatiale pour y capter leur atmosphère singulière.
Sur invitation de l’artiste, les architectes Simon de Dreuille et Elena Seegers ont pensé l’espace d’exposition comme une embarcation propice à l’évasion.
Avec Atacama et A ta recherche, Caroline Corbasson prolonge le développement de thématiques et de questionnements débuté depuis plusieurs années, notre rapport au monde et à l’univers, ainsi que notre manière d’aborder, d’observer et de quantifier ces environnements lointains.
Ses collaborations avec des institutions scientifiques de renommées nationales et internationales comme le CNRS, le CNES, l’Observatoire Paranal dans le désert d’Atacama ou le Laboratoire d’Astrophysique de Marseille lui permettent de s’immiscer dans le quotidien de ces hauts lieux de l’étude scientifique et spatiale pour y capter leur atmosphère singulière.
Sur invitation de l’artiste, les architectes Simon de Dreuille et Elena Seegers ont pensé l’espace d’exposition comme une embarcation propice à l’évasion.