Maison d'Emile Richebourg, célèbre écrivain et feuilletoniste de la fin du XIXème siècle.
Emile RICHEBOURG (1833-1898) vécut 7 route de La Celle St Cloud dans une propriété à laquelle il avait donné le nom de “La Charmeuse”, car c’est le succès de son roman “Andréa la Charmeuse”, qui lui avait permis, en 1880, d’acquérir cette propriété.
Émile Richebourg a été un des écrivains les plus rentables et les plus populaires de la fin du XIXe siècle : L’auteur par excellence des romans feuilletons.
On a voulu honorer en lui la littérature populaire. Signe particulier : est lieutenant de pompier à Bougival », dit assez méchamment un journaliste en 1894.
En 1876, la publication de l’Enfant du faubourg, sombre histoire d’un enfant noble recueilli par des gens peu nantis, est plus qu’un succès : un triomphe. Il devient alors la coqueluche du public, et fournit de ce jour leur pitance feuilletonesque au Petit Journal, mais aussi à la Petite République française, La Liberté, et bien d’autres, ce qui lui assure des millions de lecteurs. Il devient riche, un des trois ou quatre millionnaires du genre larmoyant, abandonnant tout autre travail.
Sa vie est d’écrire dans sa maison de Bougival. Un journaliste a relaté sa méthode : plusieurs tables dans son cabinet de travail, un roman sur chacune, et lui passant d’une pile à l’autre sans jamais se tromper d’intrigues ni dévier de ses différents fils narratifs. Il est nommé Officier d’Académie le 18 avril 1876, et est élu plusieurs fois à la Société des Gens de Lettres.
Il fait un de ses rares voyages en 1897, en Italie. Il décède peu de temps après dans sa maison de Bougival, le 26 janvier 1898, alors qu’il achevait un nouveau titre pour le Petit Parisien. (Source Gallica BNF)
Il est le donateur du vitrail de l'Eglise Notre-Dame de Bougival," Baie de l'Agneau".
En dessous du médaillon inférieur on peut lire "DON, EMILE RICHEBOVRG".
Émile Richebourg a été un des écrivains les plus rentables et les plus populaires de la fin du XIXe siècle : L’auteur par excellence des romans feuilletons.
On a voulu honorer en lui la littérature populaire. Signe particulier : est lieutenant de pompier à Bougival », dit assez méchamment un journaliste en 1894.
En 1876, la publication de l’Enfant du faubourg, sombre histoire d’un enfant noble recueilli par des gens peu nantis, est plus qu’un succès : un triomphe. Il devient alors la coqueluche du public, et fournit de ce jour leur pitance feuilletonesque au Petit Journal, mais aussi à la Petite République française, La Liberté, et bien d’autres, ce qui lui assure des millions de lecteurs. Il devient riche, un des trois ou quatre millionnaires du genre larmoyant, abandonnant tout autre travail.
Sa vie est d’écrire dans sa maison de Bougival. Un journaliste a relaté sa méthode : plusieurs tables dans son cabinet de travail, un roman sur chacune, et lui passant d’une pile à l’autre sans jamais se tromper d’intrigues ni dévier de ses différents fils narratifs. Il est nommé Officier d’Académie le 18 avril 1876, et est élu plusieurs fois à la Société des Gens de Lettres.
Il fait un de ses rares voyages en 1897, en Italie. Il décède peu de temps après dans sa maison de Bougival, le 26 janvier 1898, alors qu’il achevait un nouveau titre pour le Petit Parisien. (Source Gallica BNF)
Il est le donateur du vitrail de l'Eglise Notre-Dame de Bougival," Baie de l'Agneau".
En dessous du médaillon inférieur on peut lire "DON, EMILE RICHEBOVRG".