Dès le XVIème siècle, l’ordonnancement des jardins était conçu dans le souci de valoriser les proportions architecturales du château de Thoiry réalisé par l’alchimiste Raoul Moreau. Les terrasses et allées centrales serviront de base, 150 ans plus tard, à un renouvellement des formes, connu sous le nom de jardin à la française. Claude Desgot, neveu et […]
Dès le XVIème siècle, l'ordonnancement des jardins était conçu dans le souci de valoriser les proportions architecturales du château de Thoiry réalisé par l'alchimiste Raoul Moreau. Les terrasses et allées centrales serviront de base, 150 ans plus tard, à un renouvellement des formes, connu sous le nom de jardin à la française.
Claude Desgot, neveu et associé de Le Nôtre, s'en inspira pour aménager jardins et perspectives, prolongeant ainsi l'œuvre de l'architecte.Au XIXème siècle, le parc de Thoiry subit la mode des jardins à l'anglaise et seuls le grand axe sud ouest et son parterre à la française échappent à la destruction. Les paysagistes Chatelain puis Varé ont créé de splendides massifs [point-virgule] de nouvelles espèces d'arbres, dont 51 séquoias plantés vers 1852 enfouissent le château sous les frondaisons, obstruant toutes les perspectives sur le vaste paysage alentour.
Vers 1970, soucieux de redonner à l'histoire des jardins sa pleine dimension, les propriétaires du château ont restauré l'axe central du jardin à la française, et dégagé le château de Thoiry. L’objectif étant de rétablir la perspective tout en développant, sur le reste du domaine, le parc paysagé à l'anglaise et les collections botaniques.
Le château et les jardins botaniques de Thoiry font partie intégrante de la visite du parc zoologique créé en 1968 pour la joie des petits et grands.
Claude Desgot, neveu et associé de Le Nôtre, s'en inspira pour aménager jardins et perspectives, prolongeant ainsi l'œuvre de l'architecte.Au XIXème siècle, le parc de Thoiry subit la mode des jardins à l'anglaise et seuls le grand axe sud ouest et son parterre à la française échappent à la destruction. Les paysagistes Chatelain puis Varé ont créé de splendides massifs [point-virgule] de nouvelles espèces d'arbres, dont 51 séquoias plantés vers 1852 enfouissent le château sous les frondaisons, obstruant toutes les perspectives sur le vaste paysage alentour.
Vers 1970, soucieux de redonner à l'histoire des jardins sa pleine dimension, les propriétaires du château ont restauré l'axe central du jardin à la française, et dégagé le château de Thoiry. L’objectif étant de rétablir la perspective tout en développant, sur le reste du domaine, le parc paysagé à l'anglaise et les collections botaniques.
Le château et les jardins botaniques de Thoiry font partie intégrante de la visite du parc zoologique créé en 1968 pour la joie des petits et grands.