Entre anecdotes, grande Histoire et vieilles pierres, ce circuit, classé facile, vous emmène sur les traces des femmes et des hommes qui ont façonné Vaux-sur-Seine.
L’Office de tourisme intercommunal Terres de Seine vous propose une randonnée à Vaux-sur-Seine incontournable ville de Terres de Seine qui vous emmène dans sa riche histoire et laisse votre imaginaire faire le reste ! Terres de Seine, terre de patrimoine et de nature !
Ce circuit se dévoile sur 6,2 kilomètres à pied, comptez 2h de marche. Cet itinéraire est classé facile. N’oubliez pas de regarder la météo pour vous habiller en fonction, enfilez des chaussures confortables et adaptées, prenez un peu d’eau et quelques bonnes choses à grignoter. Plusieurs plaques émaillées sont à votre disposition sur votre parcours et vous donneront encore plus d’explications sur vos découvertes, un vrai plus pour cette randonnée. Nous vous proposons un départ depuis le parking de la gare.
Sans plus attendre, découvrez le lavoir Saint-Nicaise et écoutez son histoire ! La légende raconte qu’aux IIIè ou IVè siècles, saint Nicaise se rendant dans le village rencontra ses habitants terrorisés par un dragon monstrueux tant par sa taille que par ses méfaits, il vivait dans une caverne empoisonnant l’eau de la source. La bête vaincue, les villageois vinrent alors se faire baptiser avec cette eau miraculeuse redevenue saine, fontaine porte le nom du sauveur de Vaux.
Rassurés ? Poursuivez votre chemin et remarquez la plaque rendant hommage au peintre et aquarelliste impressionniste vénézuélien Emile Boggio (1857 – 1920) qui habita Vaux-sur-Seine de 1899 à 1902.
Puis, une demeure datée, de la fin du XIXè siècle, se dresse devant vous, il s’agit de la Martinière, bâtisse emblématique de la ville, elle témoigne de ces grandes demeures du XIXe siècle, son style amorce le passage entre l’éclectisme et l’art nouveau. Ses architectures et matériaux utilisés pour sa construction ne vous laisseront pas indifférent, remarquez les briques d’une part, les céramiques et le fer d’autre part, un décor végétal vous guide vers un grand parc avec terrains de sports et jeux pour les plus jeunes. Prenez le temps de bien observer tous les détails de cette demeure.
Passez devant le lavoir Hervieux puis apercevez le Pavillon d’Artois qui fut construit sur les vestiges d'une bâtisse du XVIIè siècle, résidence du peintre Hyacinthe Rigaud (1659 – 1743), le bâtiment actuel est réalisé pour Jacques Fayolle de 1726 à 1728. En 1775, le pavillon est acheté et fortement remanié pour Charles-Philippe de France, comte d’Artois et futur Charles X. Les nouveaux propriétaires organisent des événements culturels musicaux.
Encore un peu plus haut, à flanc de côteaux, vous voilà au pied de l’église Saint-Pierre-ès-Liens dont la construction débute au XIIè siècle, elle est rénovée en 1970 et est inscrite aux monuments historiques depuis 1926 pour sa valeur patrimoniale.
Juste à quelques pas, les tours et murs ocres du château voisin vous contemplent, demeure du sculpteur Carlo Marochetti n’hésitez pas à profiter d’une visite commentée organisée régulièrement par l’office de tourisme.
Poursuivant votre chemin, vous découvrez à présent le château de Beauregard, situé sur l’ancien fief de Forvache , un lavoir du même nom se trouve un peu plus loin, la gentilhommière devient en 1876, propriété de Léon Sari, alors directeur des Folies Bergère. Il confie à Lucien Roy, architecte du cabaret et de la Martinière, la construction des communs et d’un Fruitier. En 1890, Armand Raulet, maire d’alors, devint propriétaire de l’édifice, le chemin longeant le bâtiment porte son nom.
Tout au long de votre randonnée, prêtez attention aux noms évocateurs des rues qui ne laissent jamais votre imagination au repos. De nouvelles histoires à écrire !
Ce circuit se dévoile sur 6,2 kilomètres à pied, comptez 2h de marche. Cet itinéraire est classé facile. N’oubliez pas de regarder la météo pour vous habiller en fonction, enfilez des chaussures confortables et adaptées, prenez un peu d’eau et quelques bonnes choses à grignoter. Plusieurs plaques émaillées sont à votre disposition sur votre parcours et vous donneront encore plus d’explications sur vos découvertes, un vrai plus pour cette randonnée. Nous vous proposons un départ depuis le parking de la gare.
Sans plus attendre, découvrez le lavoir Saint-Nicaise et écoutez son histoire ! La légende raconte qu’aux IIIè ou IVè siècles, saint Nicaise se rendant dans le village rencontra ses habitants terrorisés par un dragon monstrueux tant par sa taille que par ses méfaits, il vivait dans une caverne empoisonnant l’eau de la source. La bête vaincue, les villageois vinrent alors se faire baptiser avec cette eau miraculeuse redevenue saine, fontaine porte le nom du sauveur de Vaux.
Rassurés ? Poursuivez votre chemin et remarquez la plaque rendant hommage au peintre et aquarelliste impressionniste vénézuélien Emile Boggio (1857 – 1920) qui habita Vaux-sur-Seine de 1899 à 1902.
Puis, une demeure datée, de la fin du XIXè siècle, se dresse devant vous, il s’agit de la Martinière, bâtisse emblématique de la ville, elle témoigne de ces grandes demeures du XIXe siècle, son style amorce le passage entre l’éclectisme et l’art nouveau. Ses architectures et matériaux utilisés pour sa construction ne vous laisseront pas indifférent, remarquez les briques d’une part, les céramiques et le fer d’autre part, un décor végétal vous guide vers un grand parc avec terrains de sports et jeux pour les plus jeunes. Prenez le temps de bien observer tous les détails de cette demeure.
Passez devant le lavoir Hervieux puis apercevez le Pavillon d’Artois qui fut construit sur les vestiges d'une bâtisse du XVIIè siècle, résidence du peintre Hyacinthe Rigaud (1659 – 1743), le bâtiment actuel est réalisé pour Jacques Fayolle de 1726 à 1728. En 1775, le pavillon est acheté et fortement remanié pour Charles-Philippe de France, comte d’Artois et futur Charles X. Les nouveaux propriétaires organisent des événements culturels musicaux.
Encore un peu plus haut, à flanc de côteaux, vous voilà au pied de l’église Saint-Pierre-ès-Liens dont la construction débute au XIIè siècle, elle est rénovée en 1970 et est inscrite aux monuments historiques depuis 1926 pour sa valeur patrimoniale.
Juste à quelques pas, les tours et murs ocres du château voisin vous contemplent, demeure du sculpteur Carlo Marochetti n’hésitez pas à profiter d’une visite commentée organisée régulièrement par l’office de tourisme.
Poursuivant votre chemin, vous découvrez à présent le château de Beauregard, situé sur l’ancien fief de Forvache , un lavoir du même nom se trouve un peu plus loin, la gentilhommière devient en 1876, propriété de Léon Sari, alors directeur des Folies Bergère. Il confie à Lucien Roy, architecte du cabaret et de la Martinière, la construction des communs et d’un Fruitier. En 1890, Armand Raulet, maire d’alors, devint propriétaire de l’édifice, le chemin longeant le bâtiment porte son nom.
Tout au long de votre randonnée, prêtez attention aux noms évocateurs des rues qui ne laissent jamais votre imagination au repos. De nouvelles histoires à écrire !